صار للترقب معنى مرفأ ألوذ به و تدركه امكاناتي ملجأ لكلماتي النافرة و حصن منيع لكل ترهاتي حديث الآخرين لي و ترجمة لما هو آتي بعض الظن و شيء من التعقل اذا شئت أو جميل ارهاصاتي
Tuesday, August 18, 2009
corvée
Se pressant à rejoindre son poste de travail , il s'est senti fiévreux il ne savait que faire de cette lassitude qui le gagnait et mettait sa vie en fragments chaotiques .le souffle coupé à cause de son empressement exalté , il jeta un coup d 'œil à la tribune devant la porte de son bureau ,regarda la masse qui l attendait réprima un soupir d'agacement et se fraya le chemin vers le bureau de l'une de ces collègues .... Il n'était pas question qu'il monte les escaliers avec son souffle coupé le misérable public pouvait l'attendre encore une vingtaine de minutes...Ne pouvant accéder ni à un verre d'eau ni à une tasse de café , il respira profondément , bavarda avec sa collègue prena congé le temps était venu de passer à la calvaire et de recevoir ces gens qui l'attendaient .Se mettant derrière son bureau il les enchaina un à un donnant tout le temps qu'il leur fallait pour s'expliquer et il faisait de son mieux de ce concentrer sur ce qu'on lui disait .. S'essuyant le front par la paume de sa main il savait que le geste n'était nullement de convenance la chaleur l'étouffait , expliquant au vieil homme ce qu'il devait faire pour la cinquième fois ,il fut exaspéré, cinque longues heures se sont écoulées depuis qu'il s'est acharné sur sa charge .Le vieux ne se hâtait guerre de son aller ,il se hasarda sur un ultime songe que lui procurait son interlocuteur... Le prenait il pour une fée ou le croit il surhumain .D'autres personnes attendaient , ils avaient faim ,ils étaient exaspérés , tous comme lui mais il ne souffla un mots laissant son interlocuteur se donner à des protestions contre son patron , la misère qui le torturait ,le temps qu'un vieux comme lui a du attendre pour qu'enfin il parvient à s'exhiber devant lui.Il le calma avec bonneté et le tranquillisa que la preuve pourrait être à son secours chose que le vieux n'a compris point. Seize heures était dépassée d'une demi heure ,sa corvée était finie tout ces collègues partis et sa tête était de nouveau vide comme au début de la journée .Son cœur était quand à lui bien lourd avec ces histoires que les gens venaient de lui conférer ,avec les images de leurs tristes mines . son estomac coupa cour à sa pensée il était temps de manger . .
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